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Les abysses des océans constituent un réservoir de micro-organismes inconnus qui intéressent de très près la médecine. 

La vitesse fulgurante avec laquelle un grillon échappe à son prédateur cache un secret : la présence d'un 2e cerveau alerté par des poils très sensibles aux vibrations de l'air. Comment peut-on exploiter ce particularisme en biomécanique ?

Les termites et les vaches sont parmi les êtres vivants à produire le plus de méthane. Des scientifiques ont eu l'idée d'aller voir pourquoi et comment.

Observer les solutions trouvées par la nature et les utiliser pour améliorer notre quotidien et notre santé, c'est le principe du biomimétisme. Ici, c'est la particularité des micro-organismes de franchir les barrières biologiques pour agir au coeur des cellules qui intéresse les chercheurs.

Plantes et bactéries associées au rayonnement du Soleil ont la faculté de dégrader ou d'absorber de nombreuses molécules de nos eaux usées. Si la nature sait si bien épurer l'eau, nous pouvons nous en inspirer pour créer des stations d'épuration qui deviennent elle-mêmes de jolis petits coins de nature !

Pour créer une moquette facile à poser, des designers se sont promenés dans les bois...

Le requin rapide et résistant s'est adapté parfaitement aux différents milieux et n'a pratiquement pas évolué depuis des millions d'années. Il doit cette réussite à son revêtement cutané exceptionnel, aux propriétés hydrodynamiques et anti-bactériennes. La médecine s'en inspire...

La nature ne cesse de nous étonner. Un manchot peut nourrir son petit à partir de nourriture réingurgitée, présente dans son estomac depuis trois semaines ! D'où vient cette capacité de conservation et pouvons-nous en tirer, nous les Hommes, quelques bénéfices ?

Certaines enzymes permettent aux bactéries de fabriquer de l'hydrogène à partir de l'eau. Si l'on parvient à copier ces enzymes, il sera alors facile d'utiliser l'hydrogène comme carburant.

Les fourmis ont développé des méthodes d'optimisation de leurs déplacements pour accéder plus rapidement à leur nourriture. Aujourd'hui, sur le même principe, des algorythmes d'optimisation sont étudiés pour améliorer nos déplacements dans nos activités quotidiennes.

Quoi de commun entre un homme et une voiture ? Plus qu'on ne le croit quand on écoute scientifiques et ingénieurs. En travaillant sur les performances sportives, Véronique Billat, physiologiste, a mis en avant l'importance de la variation de vitesse. 

Les abeilles butineuses savent gérer leur « carburant ». Une source d'inspiration pour Philippe Botte, responsable de la société Pole-N, qui s'est inspiré de cette organisation pour créer un modèle énergétique durable.