Cette plume, ou plutôt son fossile, vient d’être étudiée en détail à l’aide d’une technique nouvelle, la fluorescence induite par laser. Or l’étude du fossile, publiée dans le Scientific Reports du 4 février, montre que si cette plume appartenait bien à un dinosaure emplumé, il ne s’agissait pas de l’archéoptéryx. Cette étude montre que la plume en question est différente des rémiges primaires ou secondaires de l’Archéoptéryx et que son attribution durant 150 ans était erronée. Cette redécouverte montre que la diversité des dinosaures à plume était probablement plus importante que ce qui avait été imaginé.