Dans le sud-ouest du Maroc, sur le site archéologique d’Azrou Iklane, une vaste dalle est tatouée de milliers de gravures. Les plus anciennes datent du premier millénaire av. J-C., les plus récentes sont des motifs contemporains liés aux tribus sahariennes. Parcours graphique et historique.
Parkie, la célèbre éléphante qui a fait fondre le cœur des Parisiens dès 1798, fait une entrée originale au Musée d'Orsay, le temps de l'exposition « Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXe siècle ».
En observant la pierre dans ses moindres détails, les scientifiques ont redécouvert des gravures presque invisibles à l’œil nu, patinées par les millénaires et parfois recouvertes par des figures plus récentes. Ces gravures permettent d’esquisser une première chronologie sur le temps long.
Au Maroc, au cœur d'une zone désertique, une équipe de scientifiques a le bonheur d'étudier un dalle sur laquelle figure des milliers de gravures. Pour ce faire, ils ont mis au point une technique innovante, inspirée du « streetview ».
Xavier a réalisé son rêve d'enfant. Aujourd'hui, sur le terrain et en laboratoire, il recherche des fossiles et les restaure. Sa plus grande émotion, son travail sur le crâne de Toumaï.
Les populations de dinosaures auraient commencé à décliner 10 millions d’années avant la chute de la météorite. Comment peut-on le savoir ? Explications de Fabien Condamine, chercheur à l'Institut des sciences de l’évolution de Montpellier
Arrivé tout droit de l’Égypte antique, l’ibis sacré a fait l’objet d’une intense controverse scientifique entre deux grandes figures du Muséum national d’histoire naturelle : George Cuvier et Jean-Baptiste de Lamarck. Lequel des deux avait finalement raison ?
Pour la première fois, il est possible de lire l'histoire racontée sur la colonne Trajane. Les photographies prises en 1862 et assemblées et montées en 2020 se déroulent sous nos yeux.
C’est un pas de géant qui vient d’être franchi dans l’histoire de la paléogénétique. Les plus vieux échantillons d’ADN jamais retrouvés, viennent d’être étudiés...
En attribuant une arme dans une tombe à un homme défunt, et un collier à une femme disparue, les spécialistes ont longtemps plaqué les canons de la société contemporaine sur le monde celte. L’archéologue Chloé Belard milite pour une archéologie dite « du genre » et appelle à reconsidérer la place des femmes dans le monde antique.