Cancer, la recherche progresse

Et si demain le cancer de la vessie pouvait être détecté à partir d’un simple échantillon d’urine ? C’est l’idée développée par des chercheurs du Centre International de Recherche sur le Cancer. À l’occasion de la journée mondiale contre le cancer le 4 février.

Deux publications sont consacrées ce mois-ci aux cellules cancéreuses dites « persistantes » et aux pistes thérapeutiques pour les combattre. Les explications d’un des auteurs, le Pr Caroline Robert, chef du service dermatologie à Gustave-Roussy (Villejuif).

Longtemps ignoré, l’effet cancérigène du radon est aujourd’hui reconnu. Ce gaz naturel peut exposer les populations à des niveaux préoccupants. L’IRSN propose à chacun de calculer son exposition individuelle au radon via une application…

On entend souvent dire que le cancer est la première cause de mortalité dans le monde. Qu’en est-il réellement ? Allons voir les chiffres. Les Data Science déconstruisent les Fake news et autres idées reçues en donnant les chiffres à voir, au pixel près.

Avec son odorat ultra développé, le chien peut aujourd’hui retrouver un homme sous les avalanches, détecter des explosifs mais aussi, et c’est moins connu, détecter des maladies. Pour autant, leur expertise est-elle sûre ? Où en sont les recherches ?

Selon l’épidémiologiste Catherine Hill, le dépistage du cancer du sein reste largement perfectible : les femmes de plus de 50 ans ne font pas assez de mammographies et celles de moins de 50 ans en font trop...  

Un mini-intestin, une réplique de cerveau ou de vessie... Les organoïdes sont des mini-laboratoires permettant de tester une grande variété de médicaments. Une solution prometteuse pour le traitement des cancers et une alternative à l'expérimentation animale.

En 2018, alors que le dépistage du cancer du col de l'utérus était mis en place, Catherine Hill, épidémiologiste, pointait le scandale de l'inégalité des femmes face à ce cancer meurtrier mais largement évitable !

Connaissez-vous les Pink Dragon Ladies ? Leur expérience a permis de convaincre les médecins qu’activité physique et cancer sont des alliés efficaces.

40 000 personnes meurent chaque année du cancer de la prostate en Europe, et autant aux États-Unis. Une thérapie innovante a été mise au point pour permettre un traitement avec des effets secondaires très faibles. Explications.