Astro & Espace

Alors que les exoplanètes ont donné lieu à l’attribution du prix Nobel de physique 2019 à Michel Mayor et Didier Queloz, découvreurs de la première exoplanète, l'astrophysicienne Isabelle Vauglin nous explique le rôle de la spectroscopie dans la détection des exoplanètes et pose la question de leur habitabilité. "Sommes-nous seuls dans l'Univers ?" est pour elle la question fondamentale. Peut-être sur une exoplanète, mais peut

Un noyau d’atomes à 5 particules, cela n’existe pas. Heureusement, car sinon, l’Univers aurait été un enfer ! Avec David Elbaz, astrophysicien au CEA.

La constellation du Taureau est probablement la plus belle du ciel d’automne. Elle est facile à repérer en regardant en direction de l’est durant la soirée. Vous verrez très facilement une étoile bien brillante et de teinte orangée : Aldébaran, alias l’œil du Taureau.

Dans ce film historique, l’astronome suisse Michel Mayor nous fait revivre la découverte qu’il a faite avec son compatriote Didier Queloz de la première exoplanète en 1995. Un moment inoubliable ! Leurs travaux viennent d’être récompensés par le Prix Nobel de physique 2019, reçu conjointement avec le Canado-Américain James Peebles pour ses travaux sur les origines de l’Univers.

Le 28 septembre dernier, Elon Musk, entrepreneur milliardaire et PDG de SpaceX, a présenté les grandes lignes de son ambition pharaonique : créer le plus gros vaisseau spatial interplanétaire, à moindre coût, et totalement réutilisable.

Regardez par une soirée sans Lune en direction du nord-est. Sous le W de Cassiopée, vous verrez se lever la constellation de Persée. Cette grande constellation est ancienne et déjà citée dans le catalogue de Claude Ptolémée au second siècle de notre ère. 

Découvert par le télescope Hubble en 2014, puis survolé en janvier 2019 par la sonde américaine New Horizons, Arrokoth est une sorte de fossile céleste, véritable ancêtre des planètes. A plus de 6 milliards de kilomètres de la Terre et à la vitesse fulgurante de 50000 km/h, la petite sonde de la Nasa est parvenue à photographier la drôle de forme bilobée en « bonhomme de neige » du vieil astéroïde.

Un astronome amateur ukrainien, Gennady Borisov, a repéré le 30 août dernier ce qui n’aurait pu être qu’une simple comète. Mais la vitesse et l’orbite très elliptique de cet objet céleste – baptisé provisoirement C/2019 QA (Borisov) – sont typiques d’une origine extrastellaire… et surtout il se rapproche de nous !

Dans cette chronique spatiale sans gravité aucune, la spatialiste Florence Porcel reçoit l'astronaute Jean-François Clervoy qui nous raconte comment se divertir quand on se trouve en orbite à 400 km au-dessus de nos têtes dans l’ISS.

"Je ne connais rien de plus beau que les amas globulaires, ce poudroiement d’étoiles, serrées les unes contre les autres... ".

Si vous regardez en direction de l'est en soirée, vous verrez monter dans le ciel une constellation en forme de W, c'est Cassiopée. Si en Sibérie orientale ces cinq étoiles représentaient un troupeau de rennes, dans le monde grec classique, il s'agissait d'une reine. Son mari, le roi Céphée est à ses côtés.

"La musique c’est mieux en stéréo, et l’observation du ciel c’est pareil... Observer le ciel aux jumelles, c’est se promener d’étoile en étoile, une promenade sereine et sans but..."