Environnement & Nature

Le ver marin construit son propre habitacle dans l'eau en agrégeant des grains de sable. L'escargot, quant à lui, adhère sur les surfaces humides grâce à sa bave.

Cultiver des microalgues sur les murs de nos villes, notamment pour capter le dioxyde de carbone, tel est le concept développé par Olivier Scheffer de XTU Architects et Jérémy Pruvost, chercheur en génie des procédés à l'université de Nantes. Les premières réalisations vont bientôt voir le jour.

Voici des algues microscopiques, dans le plancton marin, qui présentent une particularité incroyable : elles s'entourent d'une coque en verre pour se protéger, verre qu'elles fabriquent elle-mêmes à partir de la silice de l'eau. Peut-on aujourd'hui fabriquer du verre dans les mêmes conditions ?

Les abeilles butineuses savent gérer leur « carburant ». Claire Villemant, chercheur et responsable de la collection d’hyménoptères (guêpes, abeilles et fourmis) au Muséum national d'histoire naturelle, nous explique leur fonctionnement.

Quoi de commun entre un homme et une voiture ? Plus qu'on ne le croit quand on écoute scientifiques et ingénieurs. En travaillant sur les performances sportives, Véronique Billat, physiologiste, a mis en avant l'importance de la variation de vitesse.

Les fourmis, mais aussi les abeilles ou les termites ont développé des méthodes d'optimisation de leurs déplacements, pour accéder plus rapidement à leur nourriture.

Certaines enzymes permettent aux bactéries de fabriquer de l'hydrogène à partir de l'eau. Si l'on parvient à copier ces enzymes, il sera alors facile d'utiliser l'hydrogène comme carburant.

Le requin est très rapide et résistant. Il s'est adapté parfaitement aux différents milieux et n'a pratiquement pas évolué depuis des millions d'années. Il doit cette réussite à son revêtement cutané exceptionnel, aux propriétés hydrodynamiques et anti-bactériennes.

Pour créer une moquette facile à poser, des designers se sont promenés dans les bois...

Un épisode de "Nature = Futur".

Plantes et bactéries associées au rayonnement du Soleil ont la faculté de dégrader ou d'absorber de nombreuses molécules de nos eaux usées.

L'eau sur Terre passe son temps à s'évaporer, sous l'influence du rayonnement solaire direct ou indirect.

L'eau peut se faire colosse inerte et froid. Les glaciers, ressources considérables en eau douce, en sont la preuve même si, avec le changement climatique, la fonte s'accélère de manière inquiétante.

Images extraites de la série documentaire "Le roman de l'eau" de 3 x 52 min.