En plus des soins à domicile, Evelyne, malade de la drépanocytose, doit se rendre chaque mois au CHU de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, pour bénéficier d’un échange transfusionnel afin d’éviter une potentielle crise sévère.
Trois étudiantes ont lancé l’application « Drepacare », un outil numérique d’information et de suivi personnalisé de la drépanocytose. L’application smartphone permet de surveiller l’évolution de sa maladie, d’obtenir des informations, des conseils, ou encore, une évaluation de la douleur.
Odile Saint Rose, responsable des jeunes à l’APIPD, la plus grosse association de drépanocytaires en Île-de-France, intervient auprès de lycéens pour les informer sur la maladie, ses origines et ses conséquences, ainsi que sur le dépistage.
A 26 ans, Inès attend son second enfant. Drépanocytaire, elle a déjà un enfant porteur de cette maladie. Aussi, elle décide de faire le dépistage anténatal de la drépanocytose par amniocentèse à la maternité du CHU de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe.
A l’hôpital de jour de Necker, Arnaud, 26 ans, drépanocytaire, suit le protocole de thérapie génique du professeur Marina Cavazanna car, il n’a pas pu bénéficier d’une greffe de moelle osseuse, ses frères et sœurs n’étant pas compatibles.
Lors de certaines pathologies de l'os ou fractures, on pratique actuellement une greffe avec un morceau d'os du patient. Avec les cellules souches colonisant des morceaux de squelette de corail, on pourrait améliorer la réparation osseuse.
L’interdiction totale de l’expérimentation animale pour les produits cosmétiques commercialisés en Europe est entrée en vigueur le 11 mars 2015. Mais quelles sont les solutions de substitution ?
Entre les neurones, des messages chimiques circulent le long des axones qui font parfois près d'un mètre de long. Ils sont transportés par une sorte de moteur chimique qui carbure à l'ATP (adénosine triphosphate).