Terre ! Terre !

Comment définir la date marquant le début de l’Anthropocène, cette nouvelle ère géologique durant laquelle les activités humaines ont commencé à avoir une incidence globale significative sur l’écosystème terrestre ? Reportage à la recherche du fameux « clou d’or ».

Dans les régions arctiques, les orages sont encore rares… pour le moment. Car en raison du réchauffement climatique, le phénomène pourrait s’accentuer, entraînant des feux de forêt et la destruction du couvert organique qui isole le pergélisol.

Pour la première fois, une étude française a observé en conditions réelles l’exposition aux pesticides d’organismes indispensables à la bonne santé des sols, les vers de terre. Explications de Céline Pelosi, écolologue à l’Inrae, qui a dirigé ces travaux.

Début octobre, les intempéries dans les Alpes Maritimes ont battu tous les records. Peut-on pour autant parler de « tropicalisation de la Méditerranée » ?

Des chercheurs de l’université de Miami avancent l’hypothèse que l'éruption du Kīlauea de mai 2018 a été déclenchée par les pluies abondantes qui se sont déversées sur l’archipel durant le premier trimestre de la même année.

Le pôle nord se réchauffe à vue d'œil, et le dégel du pergélisol est soupçonné de relâcher d'énormes quantités de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

Pour ceux qui croient encore que le réchauffement climatique est un phénomène naturel et que l'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère est dû au hasard, il est urgent d'écouter Max Bird. Retour sur une série phare du Blob.

En septembre 2020, le WWF annonce que l’indice « Planète Vivante » a chuté de 68 %. Que signifie ce chiffre ? Comment parvient-on à mesurer la perte de la biodiversité, alors que 80 % des espèces vivantes sur la planète sont encore inconnues ?

Pierre-Henri Gouyon, chercheur sur la théorie de l'Evolution, se bat contre une vision de la biodiversité héritée de la Bible et contre les pratiques agricoles modernes qui détruisent la richesse de l'environnement et menacent sa survie.

Des glaces âgées de 1 à 2,7 millions d’années, extraites de la calotte glaciaire antarctique en 2016, ont fait l’objet d’analyse. Publiés dans la revue Nature, ces travaux remettent en cause certaines de nos connaissances sur les cycles de glaciation.